700 trillions de volts circulent à l’instant dans votre corps.
La science explique comment les cellules fonctionnent.
Nous sommes constitués de 50 trillions de cellules qui sont des entités vivantes. Nous sommes une communauté de cellules, et non pas une seule personne. Chaque cellule est dotée d’un voltage, négatif à l’intérieur, et positif à l’extérieur, telle une batterie de 1,4 volts. Si l’on multiplie ce voltage par 50 trillions de cellules, cela explique que 700 trillions de volts ou d’électricité circulent en vous en ce moment-même. Cela explique pourquoi avec l’entrainement et la méditation, nous pouvons concentrer cette énergie appelée vibration, et l’orienter vers notre propre guérison.
Alors que nous nous percevons comme une entité physique, les nouvelles sciences et la physique quantique expliquent que nous sommes en réalité des ondes de vibration qui communiquent continuellement entre elles. Tous les animaux et toutes les plantes sont constituées et communiquent avec ces mêmes vibrations, voilà pourquoi la gazelle n’a pas besoin d’aller jusqu’au lion pour vérifier s’il est son ami. A distance, l’énergie se fait sentir, et l’on peut ressentir les bonnes comme les mauvaises vibrations. Si nous-mêmes étant plus jeunes, apprenions à être sensibles aux vibrations, nous pourrions éviter à l’âge adulte d’attirer à nous les personnes, les endroits, ou encore les situations de basses vibrations.
Nous sommes éduqués à écouter ce que les gens disent, mais le langage a été conçu pour cacher les sentiments. Or tous les organismes communiquent par la vibration, le sentiment, la sensibilité sensorielle, et savent naturellement l’identifier. En tant qu’humains, nous avons la même capacité mais nous n’y sommes pas formés, ou plutôt nous y sommes déformés. Parfois une personne peut affecter une autre personne juste par sa présence. Et alors elle exprimera : « je ne sens pas cette personne…
» ou bien « je sens trop bien cette personne…
».
En physique classique, nous ne sommes que des particules soumises à la génétique, et telles que nous percevons ces particules reflètent l’illusion du monde. La physique classique est révolue. En physique quantique, nous sommes des ondes et par conséquent, nous sommes le champ vibratoire tout entier. Nous sommes connectés au grand tout, car les vibrations ne sont pas séparables, ni séparées. Nous avons seulement oublié comment les sentir, et les ressentir.
Nos pensées ne sont pas dans nos têtes.
Que nous ayons des pensées positives ou des pensées négatives, envers nous-mêmes, envers un individu ou envers le monde, c’est l’égrégore entier qui est connecté à ces mêmes pensées, qui ne sont autres que des fréquences. Les pensées ne sont pas seulement connectées à soi, à l’individu, mais à l’égrégore tout entier. La fréquence émise par vos pensées n’est pas dans votre tête, mais dans l’égrégore qui est concerné par ces pensées.
Ainsi, la bonne fréquence peut faire exploser un verre en cristal. Et de la même manière que nous avons la capacité de créer le paradis, nous pouvons créer l’enfer. Il s’agit du même processus. Si cela fonctionne pour un individu, cela est d’autant plus puissant pour un égrégore entier, puisque nous sommes tous connectés aux égrégores les uns, les autres. Cela signifie que nous créons collectivement notre réalité.
Nous ne sommes pas un individu unique, nous sommes une communauté d'individus, une communauté de cellules interagissant entre elles par les vibrations. Chaque cellule est intelligente, mais au sein d’une communauté de cellules, elle abandonne son intelligence personnelle, pour emprunter la voie centrale. Au sein de cette communauté, la cellule suit ce que la voie centrale dit. Et si la voie centrale dit qu’il faut mourir, alors chaque cellule va mourir. Cette voie centrale, c’est l’esprit subconscient.
Comment cet esprit fonctionne ?
L’environnement est constitué de signaux : des signaux de l’environnement interne et des signaux de l’environnement externe. Le rôle du cerveau est de percevoir ces signaux, les interpréter puis d’envoyer l’information perçues aux cellules. Ce qui crée l’esprit. Et ce qui contrôle la génétique. La génétique n’est pas liée à notre ADN, mais à l’esprit subconscient lui-même. Voilà la révolution scientifique qui expose l’importance de l’épigénétique sur la génétique elle-même.
Tout le monde a déjà entendu parler du pouvoir de l’effet Placebo, ou de la pensée qui guérit. En effet si je prends un traitement médicamenteux, si ma croyance est que ce traitement va me guérir, alors cette simple pilule de sucre qu’est le placebo, va me guérir. Si l’effet placebo peut me guérir par la croyance positive, il en est de même pour la croyance négative, ou l’effet nocebo. Quand l’un guérit, l’autre peut tuer. La croyance du professionnel de santé qui annonce la maladie, lui donne vérité. La force de nos croyances crée notre réalité. Si nous avions des croyances plus positives, cela nous rendraient bien plus puissants que nous le sommes aujourd’hui.
Ce que ne transmet pas la médecine conventionnelle pour des raisons purement économiques, c’est que la médecine par les gènes est révolue. Nous ne sommes pas soumis à la génétique. L’épigénétique nous apporte des trésors de compréhension et d’appréhension du monde.
Notre conscience n’a que cinq pourcents de pouvoir au travers nos rêves et nos désirs, quand les quatre-vingt-quinze autres pourcents sont issus de l’esprit subconscient – la voie centrale
–, que l’on pourrait comparer à nos puissants programmes d’ordinateurs. Un programme d’ordinateur ne réfléchit pas, ne se conscientise pas, il agit uniquement dans ce pour quoi il a été programmé, c’est tout.
Si les programmes sont favorables à notre évolution tout se passe bien. Là où les choses se compliquent c’est lorsque nous avons intégré des programmes qui ne nous rendent pas service. Or ces programmes se jouent inconsciemment, malgré nous, et se logent dans nos croyances. Il s’agit déjà de les identifier, afin de pouvoir les effacer, et les remplacer par de nouveaux programmes.
L’idée que notre destinée est inflexiblement inscrite dans nos gènes est en train de s’écrouler. L’idée que l’individu est victime de sa propre vie, de son système héréditaire est révolu.
Nos gènes déterminent l’état de notre santé, de nos finances, voire celui de nos amours, uniquement en fonction du choix d’informations que nos cellules « décident
» de cueillir dans notre code génétique. Une décision où nous aurions notre mot à dire, à ce que nous révèlent les découvertes révolutionnaires de la nouvelle biologie. Ce qui nous arrive, ou qui ne nous arrive pas dans la vie, serait le résultat de programmes inscrits dans le plan de vie de notre ADN – notre code génétique
–, mais nous savons maintenant, grâce à ces découvertes, que nous pouvons annuler un programme nuisible comme en créer d’autres nettement plus avantageux.
Nous assistons à une avancée spectaculaire dans le domaine de la biologie moléculaire grâce aux travaux de chercheurs qui font progresser la science dans des voies complètement ignorées jusqu’ici. Dans des écrits fascinants, ils nous expliquent le vaste potentiel contenu dans nos gènes et comment activer ceux qui vont nous permettre de vivre une vie profondément satisfaisante sur tous les plans.
L’épigénétique est une branche de la science qui a été créée dans le but d’étudier le mécanisme par lequel l’environnement contrôle l’activité génétique. Les recherches menées depuis plus de vingt-cinq ans par Bruce Lipton, un biologiste de renommée mondiale, et auteur du livre « La biologie des croyances
» démontrent clairement que « les gènes et l’ADN ne contrôlent pas notre biologie comme on le croyait
», mais qu’au contraire « l’ADN est contrôlé par des signaux provenant de l’extérieur de la cellule, y compris par le contenu de nos pensées
».
L’idée qu’il existe une source d’information au-delà des gènes est révolutionnaire. Notre destinée ne serait pas inscrite immuablement dans le code de l’ADN. L’épigénèse, autrement dit ce qui se passe autour de la cellule, son environnement, jouerait un rôle plus fondamental encore.
La transformation d’un système de croyances, comme par exemple un acquis de nouvelles connaissances qui permettent de changer nos perceptions sur un sujet, peut métamorphoser le milieu dans lequel nos cellules baignent – l’épigénèse
–, ce qui veut dire qu’elles interpréteront le même code génétique de façon totalement différente.
De ce fait, et même s’il est vrai que rien ne peut se produire à l‘intérieur de notre corps ou dans notre vie à moins d’être déjà inscrit dans nos gènes, nos cellules ont le choix entre des options infinies pour créer notre existence physique.
La découverte de l’impact que peut avoir l’environnement sur le fonctionnement de nos cellules change radicalement l’idée qu’on se faisait de l’immuabilité du code génétique. C’est aussi la preuve que les émotions régulent l’expression des gènes.
Une évidence également établie par les travaux de la célèbre neuro-physicienne Candace Pert. Auteure du livre « Les molécules de l’émotion
», elle affirme que les émotions sont le lien entre l’esprit et le corps. Une communication rendue possible à travers ce qu’elle nomme « les molécules de l’émotion
». Elle explique en outre que l’esprit ne domine pas le corps, mais qu’il est notre corps, nos cellules s’occupant de traduire les informations de l’esprit en réalité physique.
Nos cellules transforment littéralement l’esprit en la matière. Le corps et l’esprit ne font qu’Un !
Grâce au précieux travail scientifique des pionniers de notre ère, nous savons aujourd’hui que nos émotions influencent les cellules de notre corps et que l’esprit gouverne le fonctionnement génétique. Ce qui va à l’encontre de toutes les idées reçues dans le domaine de la biologie classique.
Tout comme la Psychologie énergétique, qui s’appuie également sur ces découvertes, et remet en question les données du domaine traditionnel de la santé mentale.
L’histoire de nos ancêtres est inscrite dans nos gènes, et cette mémoire ancestrale chargée de drames, continue de nourrir les parcours affligeants dans notre propre vie, tels que vivre des situations d’abandon à répétition, d’injustices ou d’humiliations...
Les émotions et les croyances de nos aïeux jouent un rôle énorme sur la façon dont nous nous comportons dans la vie, car nous restons inconsciemment « loyaux
» et « fidèles
» au legs de traumatismes qu’ils nous ont transmis.
Ce que la « nouvelle biologie
» nous apprend cependant, dans un concept jamais envisagé auparavant, c’est que nous pouvons consciemment désactiver les informations génétiques qui nous sont nuisibles, incitant nos cellules à en choisir d’autres au sein même de notre ADN, bien mieux adaptées à notre épanouissement.
Des recherches ont clairement démontré que l’impact sur la santé de facteurs à priori dangereux, comme de fumer ou de mener une vie sédentaire, varie grandement suivant les individus. Il n’y a pas de style de vie absolument bon ou mauvais.
Nous possédons à la fois des gènes qui potentiellement peuvent nous causer des maladies et des gènes qui peuvent nous en guérir. Notre corps désire toujours instinctivement guérir. Une présence de guérison profonde, que nos croyances contrôlent, existe toujours en chacun de nous.
Aucune barrière ne séparant l’esprit de la matière, nous pouvons consciemment réparer notre corps au niveau cellulaire en adressant nos requêtes à l’Intelligence qui l’habite. La biologie quantique nous informe : que l’esprit – ou la conscience – est le matériau de construction de la vie, et que le cerveau est son outil physique. Le cerveau est au service de la vie, et pas l’inverse ! Ce sont nos cellules qui servent de pont entre l’esprit – notre réalité invisible ou non-physique
– et la matière – notre réalité physique.
Toutes nos croyances, idées, principes, concepts dans la vie, ainsi que nos mémoires, souvenirs et émotions, sont encodés dans nos neurones, formant notre personnalité dans un agrégat de réseaux neuronaux intimement connectés. Ce sont ces réseaux neuronaux qui nous font réagir de manière automatique, aussitôt qu’ils sont activés. Lorsqu’une chose se répète, les connections se font de plus en plus robustes et difficiles à changer.
Des recherches affirment cependant que nous pouvons continuer à nous développer à tout âge, grâce à la formation de nouveaux réseaux neuronaux. Les anciens groupes de cellules ne servant plus, vont alors rompre leurs liens neurologiques, ce qui aura pour effet d’en désactiver les caractéristiques jusque-là en vigueur dans notre vie.
Les techniques issues de la Psychologie énergétique, l’harmonisation quantique, la libération émotionnelle… nous permettent aujourd’hui de restructurer nos réseaux neuronaux et d’en enrichir le contenu, en y intégrant de nouveaux concepts de vie – ou nouveaux programmes d’ordinateurs
–, porteurs de joie et de bonheur.
Ces techniques nous donnent les moyens de communiquer consciemment avec nos cellules, leur demandant sans détour d’activer nos défenses naturelles contre la maladie, les pénuries et les drames. Ces techniques qui œuvrent à un niveau vibratoire, sont en outre un outil d’accès au flot d’énergie qui circule à travers notre corps et qui nous permet d’en rétablir l’harmonie.
Il sommeille en chacun d’entre nous, un fabuleux potentiel de croissance, se traduisant par des pouvoirs et des facultés qui ne se sont pas encore manifestés concrètement. Autrement dit, il s’agit de caractéristiques individuelles magnifiques encore « endormies
».
Mais le monde en transition, s’éveille !
Nous éprouvons tous le besoin de nous développer sans toujours savoir comment transformer notre réalité. La réalité semble parfois « fade
» et « ennuyeuse
» quand elle semble rester identique à celle des jours précédents, surtout lorsqu’elle semble nous faire vivre sans cesse le même cycle de douleurs et de souffrances.
Or la vérité n’est pas si loin de nous. Pour croître, sachons nous ouvrir à de plus vastes horizons permettant de vivre des expériences inédites. Une vie plus riche se bâtit en élargissant ses limites, en sortant de ces zones dites "confortables", en leur offrant davantage de possibilités d’épanouissement et de joie.
L’acquis de connaissances nouvelles nous donne la possibilité de nous développer tout au long de notre vie. Les gens chérissent des rêves, mais rares sont ceux qui se donnent les moyens de les réaliser. Or s’ouvrir à des idées nouvelles peut transformer une vie en un clin d’œil !
Nos potentiels cachés, nos talents endormis… résident dans nos gènes. Des gènes, susceptibles de gouverner notre bonheur, existent en chacun de nous, de manière latente. Des capacités fantastiques, déjà inscrites dans nos gènes, attendent juste d’être découvertes.
D’un point de vue génétique, les miracles font partie du programme et les informations inscrites dans nos gènes dépassent tout ce que nous pouvons imaginer. Nos gènes ont la fabuleuse capacité de nous aider à accomplir des choses que nous aurions cru impossibles !
Nous avons en nous, un potentiel puissant, inutilisé, qui se révèle inutilisable si nous maintenons des vies routinières et conformistes, tel que le système en place nous y conduit.
Mais ces gènes en nous, peu à peu s’éveillent à une nouvelle réalité !
Le plaisir est ce don de la conscience qui cherche à se goûter au travers de nos sens. Nous sommes des êtres de plaisir et de sens. Nous n’avons pas, ni à souffrir, ni à subir, mais à reprendre notre pouvoir. Il est parfois plus facile de nier nos responsabilités, car reprendre ses responsabilités permet de choisir, décider, quelle vie incarner.
Nous sommes "Le Créateur", et l’entêtement à conserver une vision exclusivement newtonienne sur le marché du monde, nous retire toute capacité de commandement sur les circonstances de notre vie. Mais les gens aujourd’hui s’éveillent... Ils commencent à observer l’emboîtement judicieux des événements qui s’opèrent dans leur existence. Ils prennent conscience que rien n’arrive par hasard. Tout suit une voie lente et progressive, la voie centrale pourrait-on dire, de plus en plus évidente.
Il est l’heure d’accepter la puissance de notre volonté et le Dieu créateur en chacun…